– Ce n’est pas si mal ici, dit Karl d’une voix qui paraît tout à fait honnête.
– Je parie que ça vous rappelle vos années d’étudiant. Si vous avez jamais été de ces étudiants qui galèrent pour trouver un logement pas cher, ajoute Cassie avec une point d’ironie.
– Je l’ai été oui. Je ne descend pas d’une lignée de chefs d’entreprise, vous savez? Vous avez une charmante vue sur ce parc. Qu’est-ce que c’est? demande Karl en enlaçant la jeune femme.
– Hilly fields, répond Cassandra sans sourciller. Ravie que cela vous plaise.
Karl embrasse la jeune femme.
– Ce n’est pas le paysage que je préfère ici.
Il attrape ses fesses à pleines mains et il les malaxe sans plus de façon.
– Voilà les courbes que je préfère. Et celles-ci aussi.
Il attrape ses seins par en dessous et il les soupèse.
– Cette robe est ravissante. Mais elle vous serre trop. Il faut libérer tout ça.
En disant cela, Karl fait passer la robe de la jeune femme par dessus sa tête. La robe détache le crayon coincé dans la chevelure qui tombe en vagues rougeoyantes sur le corps à demi-nu de la jeune femme.
– Toujours pas de soutien-gorge mademoiselle, s’exclame le PDG en plaquant Cassie contre lui.
Il l’allonge sur le canapé et lèche la pointe de ses seins avec ardeur. C’est parfait comme ça, a good shag. Ah, ça faisait si longtemps! Facile, sans gêne, sans honte. Tellement plus facile qu’avec cet idiot de Louis. Cassie sent son entrejambe devenir chaude et humide.
Elle aide le PDG à retirer sa chemise et elle lui dézippe le pantalon.
– Belle queue, monsieur « chef d’entreprise », soupire Cassandra en caressant la chose en question. Vous avez envie de moi?
– J’ai foutrement envie de te prendre et de mettre ma queue bien fort et bien dur en toi. Mais peut-être qu’on peut se tutoyer maintenant?
– Bien sûr. Mets-la moi quand tu veux alors.
– Pas tout de suite. D’abord, je voudrais bien te lécher par ici…
Cassie sent une langue glisser juste entre les lèvres de son sexe, monter et descendre, puis s’enfoncer un peu à l’intérieur, avant de remonter vers son clitoris gonflé.
– Hm… Ici c’est bon Karl. Encore s’il te plait. Karl s’attarde sur la partie enflée et humide, il tient fermement ses fesses pincées chacune dans une main.
– Laisse-moi te sucer.
– Je peux te regarder faire?
– Bien sûr, dit la jeune femme en s’installant à quatre pattes devant son partenaire agenouillé.
Elle avale goulûment le membre raidi de son partenaire et elle suce avec énergie. Savoir que son étudiant l’observe fait monter en elle une excitation incroyable. Elle se montre aussi langoureuse que possible pour que Karl ait le plaisir de la croire folle de désir.
– Je n’aurais jamais crû que tu baisais si bien. Une si jolie jeune femme… Hm… Ce que tu es belle et bonne Ms. Lloyd…
– Montre moi que tu baises bien aussi, dit Cassie en écartant les cuisses et en se caressant le sexe.
Karl enfile un préservatif avec adresse. Pas de doute, l’homme connaît son affaire. Il l’attrape et la pénètre sauvagement. Cassie pousse aussitôt des cris de plaisir. Visiblement, penser aux affaires n’empêche pas le PDG d’être vigoureux au lit. Faut-il être un conquérant au lit pour être un conquérant sur le marché des affaires?
– Est-ce que tu me sens ma belle? Est-ce qu’elle est bien au fond?
– Oui! Encore plus fort chéri! Viens plus fort!
Cassie se redresse et monte à califourchon sur l’homme d’affaires. Ses reins se balancent frénétiquement. Que c’est bon de sentir cette pointe chaude tout au fond d’elle.! Ses seins bondissent de plaisir avec elle. Karl les attrape au vol et en saisit les pointes qu’il taquine avec dextérité. Cassandra sent l’orgasme monter en elle comme les vagues successives d’un raz-de-marée. Elle pousse un gémissement qui est immédiatement suivi par un deuxième de son partenaire. Elle s’allonge sur Karl et elle sent le sommeil s’abattre sur elle. Avant de s’endormir complètement, elle repense aux lèvre de son cher manager, sent le bras de son étudiant autour d’elle et elle se dit qu’il sera bien difficile de reprendre le travail demain.
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