Après tout, je dois en profiter

Dès ma sortie de l’avion, la lourdeur de l’humidité me happe. L’intense chaleur du sud éclate sur ma peau. Je m’arrête deux secondes en haut de l’escalier menant au tarmac : C’est beau. C’est la première fois que je voyage et que je vois de vrais palmiers, outre ceux qui encadrent l’entrée du Miami Deli. Je me suis laissé convaincre de vivre l’expérience de la semaine de relâche dans le Sud.
Après avoir pris une navette remplie de jeunes universitaires comme moi, nous sommes arrivés au hall de l’hôtel. Accueillis par des G.O. offrant des cocktails aux fruits et colliers de fleurs, nous avons découvert notre chambre.

***

Les gars sont vraisemblablement très enthousiastes de passer la semaine ici. Ma valise ouverte sur mon lit, j’enlève mon chandail pour mettre de la crème solaire.
« Wow! On ne pourrait pas croire qu’un intello comme toi cache ça sous son t-shirt! » Les commentaires fusent et les gars me font promettre de lâcher prise et d’en profiter. Je m’exécute, attrape un des romans de ma valise et me dirige vers la plage, en riant.
Je saisis une serviette au bar et j’en profite pour prendre un petit verre. Après-tout, je suis là pour en profiter, comme ils disent. J’ai bien l’impression de sentir quelques regards posés sur moi, mais je n’en fais rien. J’ai juste envie de profiter du soleil et sentir l’air salin; une autre première.
Je m’installe sur une des chaises longues disponibles et je commence ma lecture. Après quelques pages et plusieurs gorgées, je sens déjà le stress de mon quotidien se dissiper.
Ce sera une belle semaine.

***

Alors que le soleil commence tout doucement à se reposer, une intrigante silhouette apparaît dans ma vision périphérique. Je me tourne pour découvrir une peau bronzée habillant de longues jambes et une poitrine galbée. La femme doit avoir la mi-quarantaine, voir la cinquantaine. Elle se relève d’une chaise dans laquelle je ne l’avais pas vue s’installer. Elle se penche tranquillement pour récupérer son verre posé sur le sable. J’ai l’impression qu’elle prend son temps pour me permettre de découvrir ses fesses découvertes grâce à son string. Comme pour m’offrir une confirmation, ses mains remontent ses cuisses pour venir les empoigner juste avant de me lancer un petit clin d’œil. Elle enfile ses sandales et me détaille du regard, sans gêne. Elle plonge son regard à l’éclat lubrique droit dans le mien et sourit avant de quitter.
Tout ça me semble surréaliste. Je reprends mes esprits, à la fois excité et curieux de savoir si je la reverrai. Je ramasse mon livre et me dirige vers le buffet pour rejoindre le reste du groupe.
Évidemment, je leur raconte ce petit moment hors du temps. Les « Ooooh! » fusent de part et d’autre. Ils ont le sang chaud : une femme d’âge mûr! Je vois bien le genre de scénario qu’ils aimeraient faire vivre à la femme que j’ai décrite. J’avoue que ça anime mon imagination aussi.
Après tout, je dois en profiter.

***

Le soir, les gars me convainquent d’aller faire un tour à la discothèque du resort. L’expérience commence fort : tournée de shooters! L’ambiance est électrique. On peut sentir les hormones en ébullition. Les gens sont beaux et les jupes sont courtes. Personne n’est immobile. Tout le monde s’est laissé emporter par la fièvre du sud. Les corps sont en chaleur et cherchent à explorer des terres inconnues.
Une main apparaît sur mon ventre. Elle remonte jusqu’à ma poitrine, découvrant mes pectoraux saillants. Je la laisse faire tandis qu’elle redescend vers mon nombril, caressant la toison décorant mon bas-ventre. Je la saisis avant qu’elle aille se poser sur mon sexe qui durcit déjà. Je me retourne et découvre la femme de l’après-midi. Je la tire vers moi et dépose un baiser sur ses lèvres. Ma langue s’insère dans sa bouche pour découvrir la sienne et elles entament un parfait mouvement. Je pose ma main sur ses fesses et rapproche encore plus son corps du mien. Elle pousse un petit gémissement d’approbation. Du coin de l’œil, je vois mes amis qui m’encouragent.

Au même moment, elle commence à marcher, m’emmenant avec elle. C’est alors que je remarque qu’elle porte toujours ce maillot string; elle a seulement enfilé une robe blanche en filet par-dessus. Le parfait contraste avec sa peau foncée que j’ai envie de goûter. Elle me ramène à la plage, maintenant déserte, et me pousse sur la chaise longue que j’occupais plus tôt. Elle enlève la robe et monte sur moi. Puis, elle libère ses seins. De gros seins bien lourds que mes mains soupèsent avec délectation. Je soulève ma tête pour les lécher. Elle sent le soleil; la crème solaire. La noix de coco. J’apporte son sein droit à ma bouche et laisse mes lèvres englober son mamelon avant d’aspirer doucement. Je fais pareil au second, il ne faut pas faire de jaloux. Puis, je mordille son mamelon dressé bien droit. Tandis que je m’affaire sur sa poitrine, je la vois qui commence à se toucher, ce qui m’allume encore plus.

« Je veux te baiser » que je lui dis.

L’éclair lubrique à nouveau.

Elle m’enlève mes shorts pour avoir accès à mon énorme érection. Elle s’agenouille dans le sable et la regarde avec appétit. Elle s’avance au-dessus de mon gland pour laisser couler une grande quantité de salive qu’elle vient ensuite lécher.

Ce n’est définitivement pas sa première fellation.

Je vois ses lèvres humides se poser tranquillement sur mon gland et l’avaler d’un coup. Puis, sa bouche descend jusqu’à la base de ma queue qui s’enfonce au fond de sa gorge. Elle aspire et entame un va-et-vient. Au même moment, elle vient appuyer sur mon périnée. Wow. J’ai envie d’éjaculer partout dans son visage, mais elle lève un doigt pour m’indiquer de me retenir.
Elle continue et s’arrête chaque fois que je suis sur le point de jouir. Puis, s’en est trop.
Après tout, il faut quand même que j’en profite.

Je me lève et me dirige derrière elle. Elle se penche vers l’avant pour appuyer sa joue à même le sable. De ses deux mains, elle écarte ses fesses. J’enfonce mon membre sur le point d’exploser dans sa chatte qui coule d’excitation. Elle crie de plaisir.

Mes mains saisissent sa taille pour pouvoir contrôler le va-et-vient. Je sens que ma queue va loin.

« Je veux que tu viennes dans mes fesses »

Il ne m’en fallait pas plus. Cette femme qui dégage une énergie sexuelle que je n’ai jamais rencontrée avant me demande de faire de l’anal? Oui, madame!
J’humidifie son petit cul avant de la pénétrer tranquillement. Une fois bien entré, j’accélère le mouvement. Elle ne gémit plus; elle hurle. D’une main, elle tient une de ses fesses tandis qu’elle enfonce les doigts de son autre main dans son vagin. En moins de cinq minutes, je remplis son anus de ma semence, qu’elle fait doucement ressortir et couler, tandis que je réalise à peine ce qui vient de m’arriver.

C’est déjà ma meilleure semaine de relâche à vie… et ce n’est que la première journée!

Après tout, je dois en profiter Après tout, je dois en profiter Après tout, je dois en profiter Après tout, je dois en profiter Après tout, je dois en profiter Après tout, je dois en profiter Après tout, je dois en profiter

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Après tout, je dois en profiter

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